Structure

Direction du REPS

Le Réseau en éducation physique et à la santé est dirigé par une ressource professionnelle embauchée à même les fonds de recherche. Le rôle principal de la direction est de voir à l’exécution des décisions prises par le Comité de concertation.

Plus spécifiquement, la direction du REPS agit à plusieurs niveaux :

  • elle planifie l’agenda des différentes rencontres et voit à leur organisation;
  • elle assure la présidence de tous les comités mis en place, sans toutefois avoir le droit de vote;
  • elle représente le REPS auprès des acteurs pertinents;
  • elle procède aux embauches nécessaires;
  • elle s’assure d’atteindre les objectifs fixés;
  • elle fait les suivis auprès du mandataire de la subvention, Pr Sylvain Turcotte;
  • voit au bon fonctionnement du REPS.

Véronique Marchand

Directrice du Réseau en éducation physique et à la santé

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Mes cours d’éducation physique étaient pour moi un endroit où je pouvais me surpasser. Mes enseignants m’ont fait découvrir un univers de possibilités et m’ont aidé à me connaître. J’ai toujours trouvé que cette matière était importante et qu’il y aurait dû en avoir plus, car j’étais le genre d’élève qui avait de la difficulté à rester assise. Pour moi, ça été la matière la plus marquante de mon parcours scolaire et je voulais lui redonner un peu de ce qu’elle m’a donné.

Depuis quelques années, on parle de créer un « genre d’observatoire » afin d’avoir sous la main un argumentaire à jour permettant de mettre en valeur cette magnifique discipline et tout ce qu’elle apporte aux élèves. Il y avait aussi ce besoin d’avoir toutes les forces vives de l’EPS réunies ensembles dans un projet commun qui permettrait d’influencer positivement l’évolution de notre discipline. Quand on m’a dit que le financement pour mettre sur pied un Réseau en EPS avait été octroyé, j’ai rapidement levé la main car je savais à quel point ce projet serait porteur pour l’EPS québécoise. Je pense que c’était une suite logique après avoir été directrice de la FÉÉPEQ pendant 10 ans!

J’ai comme devise « rêver grand ou rêver petit ça coûte le même prix ». Je me dis que les rêves peuvent devenir des objectifs à atteindre et nous amènent à aller plus haut, plus loin. Ils sont une force tranquille qui nous mettent en action. Mon autre devise est complémentaire à celle-ci : « pourquoi avoir une zone de confort quand on passe notre temps à ne pas être dedans? »

CoCo

Le comité de concertation, ou affectueusement appelé le CoCo, est en quelque sorte l’équivalent d’un conseil d’administration. Créé en novembre 2022 officiellement, il est l’instance décisionnelle du REPS.

Voici les différentes responsabilité du CoCo :

  • il décide des grandes orientations du REPS;
  • il veille au respect de la mission, de la vision et des différentes valeurs du REPS;
  • il détermine les besoins sur lesquels les ressources seront investies ;
  • il identifie les objectifs généraux et spécifiques pour chaque besoin.

Les membres s’impliquent activement dans les chantiers, agissent comme passeur d’information auprès de leur réseau et contribuent à l’avancement des travaux.

Andrée-Ann Bolduc

Direction des programmes d’études en formation générale des jeunes
Ministère de l’Éducation (ne prend pas position dans les sorties publiques du REPS)

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Pourquoi avoir choisi l’éducation physique et à la santé comme discipline? 

Le domaine de l’éducation physique et à la santé est un choix naturel pour moi. J’ai pratiqué différentes activités physiques toute ma vie, en plus de travailler comme entraîneuse, animatrice et arbitre. J’ai également enseigné au primaire et au secondaire pendant six ans. J’ai rapidement développé une passion pour l’enseignement à travers mes expériences diversifiées. Provenant d’une famille œuvrant en santé, la compétence Adopter un mode de vie sain et actif a une grande importance pour moi. Cela m’a mené à compléter une maîtrise dans laquelle j’ai conçu un dispositif d’enseignement-apprentissage pour enseigner l’éducation à la santé dans une perspective collaborative et interdisciplinaire au troisième cycle du primaire. J’ai choisi la discipline d’éducation physique et à la santé en raison de ses visées qui rejoignent mes valeurs personnelles et professionnelles, son caractère dynamique et sa très grande importance auprès de la population en ce qui concerne le mode de vie physiquement actif.

Pour avoir embarqué dans le REPS?

Le REPS répond à des besoins importants pour notre profession, notamment pour les 3 chantiers sélectionnés. Le fait d’enrichir l’offre de formation initiale et continue est un atout majeur pour la discipline d’éducation physique et à la santé. J’ai embarqué dans le REPS pour contribuer aux réflexions du comité de concertation et pour apporter mes connaissances concernant les programmes d’études d’éducation physique et à la santé.

Votre devise ou slogan personnel

« Seuls, nous pouvons faire si peu ; ensemble, nous pouvons faire beaucoup. » – H. Keller

Anne-Marie Hogue, M.Sc

Conseillère pédagogique en éducation physique et à la santé au primaire et au secondaire et consultante au REPS

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Ma passion pour l’activité physique s’est développée dès mon jeune âge avec ma famille, puis par mes activités scolaires et civiles. Mon cheminement professionnel a toutefois été orienté vers l’enseignement au primaire comme titulaire. Lors de mon passage vers la conseillance pédagogique il y a une vingtaine d’années, le dossier que j’ai choisi fut l’éducation physique et à la santé pour poursuivre cette passion et faire une différence auprès des enseignants. À l’automne 2022, j’ai terminé une maîtrise en sciences de l’éducation alliant l’éducation physique et la motivation, deux sujets qui me passionnent.

Le REPS est une occasion pour moi de mettre à profit mon expertise développée au cours des vingt dernières années et ainsi enrichir les pratiques en éducation physique et à la santé de la formation initiale à la formation continue. Je crois que le REPS est un levier important pour soutenir le développement d’une éducation physique de qualité au Québec et je suis fière d’y contribuer.

Une de mes phrases fétiches est:

« L’activité physique ne rend pas plus brillant, toutefois elle met le cerveau de ceux qui apprennent dans des conditions optimales pour apprendre. »

– John Ratey

Brice Favier-Ambrosini

Professeur au département des Sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)

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L’EPS représente pour moi une discipline scolaire capitale pour le développement de l’enfant, tant sur le plan physique que mental et social. Passionné par celle-ci depuis toujours, je suis particulièrement sensible à la capacité de notre matière à susciter le goût pour la pratique d’activité physique régulière tout au long de la vie chez tous les élèves grâce à des apprentissages significatifs. C’est notamment autour de proposition didactiques porteuses de sens pour les élèves et du développement d’une expertise sensorielle chez ceux-ci dans le cadre de l’éducation à la santé que mes centres d’intérêts gravitent.

J’ai rapidement porté un intérêt fort pour le REPS dans la mesure où celui-ci se veut un lieu de partage d’expertises, tant scientifiques que professionnelles, au service des formations initiales et continues en EPS. Convaincu de l’importance des communs dans nos sociétés, il me semblait que le REPS s’inscrivait dans cette volonté de partage et de création collective et concertée de savoirs afin de participer au développement de l’EPS Québécoise.

Christian Leclair

Directeur général de la Fédération des éducateurs et éducatrices physiques enseignants du Québec (FÉÉPEQ)

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Christian Leclair était enseignant d’éducation physique et à la santé au secondaire depuis 23 ans avant de devenir directeur général de la Fédération des éducateurs et éducatrices physiques enseignants du Québec (FÉÉPEQ). Il a également supervisé pendant 15 ans des stagiaires en éducation physique et à la santé. Fort d’une riche expérience, il complète en 2016 une maîtrise en kinanthropologie à l’Université de Sherbrooke. Aimant développer des projets pédagogiques et des initiatives en saines habitudes de vie pour les jeunes, Christian voit grand pour l’enseignement de l’éducation physique et à la santé au Québec. Il aime particulièrement échanger avec d’autres personnes passionnées, créer de nouveaux outils pédagogiques et faire briller la profession aux quatre coins du Québec.

François Vandercleyen

Professeur à la Faculté des sciences de l’activité physique (FASAP) de l’Université de Sherbrooke

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François Vandercleyen est professeur agrégé à la Faculté des sciences de l’activité physique (FASAP) de l’Université de Sherbrooke (Québec, Canada). Titulaire d’un doctorat en sciences de la motricité obtenu à l’UCLouvain (Belgique), il a également effectué un postdoctorat à la Faculté d’Éducation de l’Université d’Ottawa. Il est actuellement responsable de la formation pratique et des stages pour le baccalauréat en enseignement de l’éducation physique et à la santé (BEÉPS) à la FASAP. Il s’intéresse au processus de développement des compétences professionnelles et à la construction de l’identité enseignante. Ses recherches portent essentiellement sur l’analyse des pratiques enseignantes en EPS, ainsi que sur les pratiques d’accompagnement en contexte de stage.

Geneviève Paquin

Enseignante d’éducation physique et à la santé au secondaire

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J’ai choisi ce métier afin de combiner plusieurs passions et intérêts. Je suis une passionnée de sports, de plein air et de santé. J’aime partager mes passions, apprendre à connaitre les gens et découvrir de nouvelles choses. Je trouve que ce métier nous permet justement d’établir des liens avec des gens dans un contexte qui est flexible et facilitateur. C’est un métier qui me permet d’innover, d’explorer différentes approches, qui est en évolution constante et qui me permet d’être créative. Ce qui me garde en enseignement, c’est d’avoir le privilège de voir les élèves s’épanouir et se développer.

J’ai embarqué dans le REPS parce que j’accorde de l’importance à la formation continue, l’accompagnement des enseignants en EPS et pour le développement de la profession. De plus, je trouvais fort pertinent que plusieurs acteurs du milieu s’unissent afin de contribuer à la formation initiale et continue des enseignants en EPS.

Ma devise vient d’un entraîneur que j’ai adoré : « Quand y’en reste plus, y’en reste encore! »
– Richard Crevier

D’ailleurs plusieurs des élèves à qui j’ai enseigné l’utilise pour toutes sortes de raisons. « Quand on pense avoir terminé la randonnée, ben y’en reste encore. » « Quand tu penses qu’il ne reste plus de place dans ton sac de randonnée, y’en reste encore un peu sur les côtés. »

Jean-François Dubé

Enseignant d’éducation physique et à la santé au primaire

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Au-delà d’aimer le sport et d’en pratiquer plusieurs, d’être enseignant a toujours fait partie de mes choix de carrière potentiels, mais il restait à savoir dans quelle discipline. Lorsqu’est venu le temps de choisir ma future profession, j’ai choisi l’ÉPS en me disant que même si ce n’était pas le bon choix de carrière, j’aurais du plaisir pendant les quatre ans de mon baccalauréat à me balader en culottes courtes à l’université et à apprendre à enseigner le mouvement et les principes liés à la santé. Du plaisir, je confirme que j’en ai eu pendant mes années universitaires et je peux confirmer aujourd’hui que j’ai fait le bon choix de discipline. C’est toujours un plaisir d’enseigner aux enfants de nouveaux savoirs et de les voir se développer au travers des différents moyens d’action choisis. J’essaie toujours de donner aux élèves le plus de possibilités possibles d’expérimenter la plus grande variété possible de moyens d’actions et de contexte de pratique afin qu’ils trouvent eux aussi l’activité ou le sport qui les animera le plus longtemps possible.

Parlons maintenant du REPS. Lorsque j’ai vu l’appel de candidature, j’ai proposé mes services, car je crois fermement que notre discipline mérite d’etre mieux valorisée. Pour ce faire, les enseignants.es, en plus d’être des modèles, nous devons agir de façon professionnelle et rigoureuse dans l’exercice de nos fonctions. Ce professionnalisme et cette rigueur passent par le fait de baser nos actions sur des connaissances reliées à des données probantes, mais aussi à des pratiques ayant faits leur preuve dans le milieu scolaire. Je pense que le REPS pourrait avoir un rôle important à jouer à ce niveau.

Jonathan Chevrier

Jonathan Chevrier

Professeur adjoint à la Faculté des sciences de l’éducation à l’Université Laval et directeur du Laboratoire sur l’usage du numérique en éducation physique et sportive (LUNEPS)

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Je n’ai pas vraiment choisi l’EPS, c’est plutôt l’éducation physique et à la santé (EPS) qui m’a choisi! J’ai d’abord complété des études en kinésiologie afin de participer au développement athlétique d’élèves, d’étudiants, d’amateurs et de professionnels. En kinésiologie comme en EPS, nous sommes pédagogues et didacticiens et je me préoccupais grandement de l’apprentissage des êtres humains que j’avais le privilège de côtoyer. Je ne voulais pas seulement guider dans l’entrainement, je voulais qu’ils apprennent l’entrainement afin de les mener vers des réflexions et de l’autonomie. De fil en aiguille, j’ai eu de plus en plus d’intérêt pour l’enseignement et l’EPS est devenu un choix d’études qui correspondaient à mes préoccupations. La situation sociale passée et actuelle concernant les enjeux liées à la pratique d’activité chez les jeunes me préoccupaient et je voulais tenter, bien humblement et modestement, de faire une minime différence en formant au meilleur de mes capacités les enseignants de demain en devenant professeur au sein d’une université. Depuis, je tente de former des enseignants qui sauront utiliser l’éducation physique et à la santé comme discipline afin de faire découvrir le plaisir d’apprendre et le plaisir de pratiquer de l’activité physique aux enfants et adolescents qui pourront ainsi bénéficier de nombreux moyens pour tendre à mener une vie longue et en santé.

Le REPS est un promoteur extraordinaire de changements. La mutualisation des ressources humaines, temporelles et monétaires permet de mener à terme des chantiers afin de « prendre le taureau par les cornes » et de réaliser des avancées qui auraient été autrement extrêmement longues, voire impossibles à réaliser. Le REPS, c’est l’équivalent de placer des fourmis noires, rouges, charpentières, des champs, acrobates et moissonneuses dans la même fourmilière afin de bénéficier des forces de chacune pour construire quelque chose d’impossible à construire sans l’effort collectif. Moi je suis la fourmi acrobate !

Une phrase qui me représente est l’équation suivante : 1+1=3

Marie-Claude Rivard

Professeure au département des sciences de l’activité physique de  l’Université du  Québec à Trois-Rivières (UQTR)

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Marie-Claude Rivard est représentante de l’UQTR sur le CoCo et est impliquée dans le chantier « Soutenir le plaisir d’apprendre ».

Pourquoi avoir choisi l’éducation physique et à la santé comme discipline?

Il y a près de 40 ans déjà qu’elle a fait le choix de l’éducation physique comme formation initiale à l’UQTR (baccalauréat 1983-1986), une université à taille « humaine ». Son intérêt initial réside dans l’enseignement/l’intervention auprès des jeunes. Le choix de la discipline de l’EPS pour son apport au développement intégral des jeunes dans toutes ses dimensions : physique, intellectuelle, affective, sociale et morale/spirituelle. Finalement, elle souhaite faire la différence en matière de réussite et de santé chez les jeunes.

Pourquoi avoir embarqué dans le REPS?

  • Une occasion unique de participer à la réunion de forces vives en ÉPS au Québec
  • Un grand intérêt pour collaborer à un projet commun visant à valoriser et faire évoluer la discipline d’ÉPS au Québec
  • Le désir de contribuer à l’actualisation de la profession enseignante en ÉPS à la lumière de nouveaux défis et besoins en formation initiale et continue
  • La volonté de participer à un décloisonnement des paliers d’intervention/de formation en ÉPS
  • Un engagement concret à l’amélioration de l’offre de formation initiale
  • Une opportunité d’influencer l’ÉPS à l’UQTR à titre de directrice du programme

 

Devise/proverbe qui me caractérise : 

  • « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs »
  • « The sky is the limit »

Marie-Maude Dubuc

Professeure au département des sciences de l’activité physique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM)

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Elle est la représentante du programme de baccalauréat en intervention en activité physique, profil enseignement, de l’UQAM

Pourquoi avoir choisi l’éducation physique et à la santé comme discipline? J’ai toujours été passionnée par l’enseignement et l’éducation en général et, d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours rêvé de devenir enseignante. Je voulais enseigner d’abord au primaire, puis au secondaire; en mathématiques, puis en EPS. L’EPS fut mon choix final parce la pratique d’activités physiques et l’adoption de saines habitudes de vie m’apparaissaient la base d’une éducation réussie. L’impact potentiel de cette discipline dans la vie des gens est tellement grand; j’ai eu envie d’y consacrer ma carrière.

Pourquoi avoir embarqué dans le REPS?

L’idée de mutualiser les ressources de différents acteurs du milieu en ayant comme but commun de répondre aux enjeux liés à la discipline de l’EPS m’emballe. Le REPS permettra ultimement que les enseignants et futurs enseignants en EPS aient accès à plus de formations et de ressources de qualité en lien avec leurs préoccupations et besoins réels. Avoir l’opportunité de contribuer à un projet rassembleur prévoyant des retombées aussi concrètes pour mes collègues en EPS est très stimulant.

Votre devise ou slogan personnel  Je n’en ai pas vraiment, mais dans le cadre de ce projet, la devise qui me vient en tête est « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ».

Naomie Fournier Dubé

Professeure adjointe à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal

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J’ai choisi l’éducation physique et à la santé, dans l’objectif de faire apprendre, mais surtout de faire une différence significativement positive, d’un point de vue de la santé globale, des enfants et des jeunes. Le REPS est l’occasion d’arrimer les savoirs pratiques et théoriques afin de collaborer et de partager pour un seul acteur : le citoyen de demain ! Maintenant en tant que professeure en évaluation des apprentissages et des compétences au département d’administration et fondements de l’éducation, à l’Université de Montréal, il m’est possible d’y contribuer par le biais de la formation initiale, de la formation continue et de la recherche.

Sylvain Turcotte

Mandataire de la subvention du REPS

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Sylvain n’est pas formellement membre du CoCo, mais il est la personne mandataire et l’instigateur du projet. Il est également doyen de la Faculté des sciences de l’activité physique de l’Université de Sherbrooke. Il a reçu une subvention de recherche en provenance du ministère de l’Enseignement supérieur de près de 700 000 $ provenant des projets inédits en sciences de l’éducation. La durée de la subvention étant de 2 ans (fin en 2024), les membres du REPS devront travailler assez rapidement pour atteindre les objectifs du projet!

Les comités de chantier

Ces comités assurent la mise en œuvre et la réalisation des chantiers. Leur composition varie selon les objectifs de chaque chantier. Pour chacun des comités, il y a au moins un membre du CoCo qui est désigné responsable afin de faire le suivi auprès des autres membres du CoCo. Ces comités identifient, planifient et surveillent la mise en œuvre des différentes stratégies pour répondre au besoin par le développement de ressources pédagogiques variées.

Pour la période 2022-2024, nos trois chantiers identifiés portent sur l’évaluation des compétences (CP5), l’hétérogénéité des élèves (CP7) et le plaisir d’apprendre (CP8).